La psychophobie et le validisme sont des formes de discrimination et d’oppression s’exerçant sur des personnes neurodivergentes et/ou handicapées et/ou psychiatrisées. Déconstruire nos préjugés psychophobes et/ou validistes implique préalablement de prendre conscience que certains de nos privilèges nous y ont conduits.
Vrai, mais il y a un juste milieu.
Certains malades, sous prétexte qu’ils sont malade, ne font pas d’effort, et ils suscite l’antipathie, sur laquelle ils se basent ensuite pour se plaindre que ce monde ne cherche pas à les comprendre.
J’en veux pour preuve la progression alarmante de troubles polymorphe anxio-dépressif/borderline qui se chronicise dans les services hospitalier, quand bien même et en tout objectivité, ils ne présente pas de symptômes sévère avant d’être ravagé par des années de traitements tout aussi dangereux qu’inutile, alors que ce dont il aurait eu besoin c’est d’un peu de discipline.
La vie est dure pour tous le monde, et la plupart des affirmations dans la partie privilège sont tout autant de préjugés que ceux de la colonne de droite. Apprendre à se maîtriser, à se discipliner etc… ne se fait jamais sans efforts.
Merci, vraiment merci d’illustrer le sujet aussi parfaitement.
J’avoue que j’ai pensé à la même chose en voyant les patients dans l’unité de la psychiatrie aiguë…surtout quad les patients continuent à consommer des substances même dans l’unité