L’arbre des idées reçues en milieu psychiatrique

 

8 réflexions sur “L’arbre des idées reçues en milieu psychiatrique

  1. Avatar de Odile Redon

    oui, c’est bien que ce soit analysé et relayé par quelques psychiatres parce qu’en tant que patient, ce n’est même pas qu’on se fait mal recevoir et traiter de tous les noms sur les dossiers en parlant de ça, c’est qu’on est menacé d’être hospitalisé et mis sous injection retard. Très bien ces fiches, je transmets, j’aime bien envoyer ce genre de documents et des études scientifiques aux psychiatres qui m’ont torturée (c’est comme ça que je le vois). Ils me détestent toujours plus et je continuerai d’être clivante et revandiquante, on ne se refait pas. Vous devriez vendre des posters et des flyers aux CMP et aux HP, le gvt devrait même utiliser la contrainte pour que les psys l’affichent avec celle sur la bientraitance.
    Odile

  2. Avatar de Odile

    bonjour,
    pourquoi avez vous censuré mon commentaire qui n’était de plus ni grossier ni dirigé contre vous ?
    Contraindre, discréditer et décourager, ça passe aussi par empêcher l’autre de s’exprimer.
    Bien à vous.

  3. Avatar de Odile

    Ou alors c’est peut-être parce que vous ne vous occupez plus de ce site ?
    Les psychiatrie a tellement l’habitude de contraindre au silence qu’on ne sait jamais à quoi s’attendre… Certains sur internet se prétendent ouverts à la critique et masquent les commentaires qui les mettent en défaut. Dont un de vos confrères qui répond dans une vidéo « ceux qui ont été hospitalisés sous contrainte et vécu la contention, vous n’avez qu’à prendre bien votre traitement pour ne pas retourner à l’hôpital » et parallèlement, il critique ouvertement les profs de l’éduc nationale qui « ne savent pas s’y prendre parce qu’on ne leur a pas appris » et horreur, punissent leurs élèves en leur faisant copier des lignes. Il critique aussi les « petits chefs » dans une autre vidéo, haha j’adore.
    En plus on peut « bien prendre son traitement » et décompenser et se retrouver à l’hp. Et on peut ne jamais avoir été attaché et être traumatisé quand même. Et aller malgré tout mieux sans médicaments qu’avec, et cela malgré les menaces des psys et les séquelles à long terme des traitements…
    Je pense que j’irai « encore mieux » quand certains des « soignants » que j’ai rencontrés iront faire un stage complémentaire en prison (avec du Tercian pour dormir parce qu’il parait que c’est bruyant là bas).
    Merci.

  4. Avatar de Meyer

    Bonjour, je trouve vos affiches très intéressantes. Merci pour ce travail. Cette affiche me paraît utile dans mon travail, cependant en l’imprimant je me rencontre que certains écrits ne sont pas très lisibles.

  5. Avatar de sensationallybarbariane91fb221eb

    Je dirais, d’après mon expérience, qu’il y a eu une génération de psys formés au punitif qui a heureusement disparu dans les années 80/90, et l’apport des neurosciences a été très positif à partir des années 90. Le rejet des dogmes psychanalytiques (pardon si je schématise) au profit d’une approche de terrain (thérapies cognitivo-comportementalistes), est une autre évolution positive.

    A présent la psychiatrie rencontre l’écueil du manque de moyens, la question des déserts médicaux, à un moment où explosent les toxicomanies, où des pathologies résultent des addictions aux écrans, et où nous avons toutes et tous à nous sentir préoccupés par une actualité anxiogène.

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