Bien que régulièrement associée à la violence, à la criminalité (notamment aux tueurs en série) et fréquemment rencontrée au sein des populations incarcérées (30%), la psychopathie concerne également 1 à 2% de la population générale et possède de multiples facettes. Elle est définie par un ensemble pathologique de traits de personnalité et de comportements dont certains figurent parmi les critères du trouble de la personnalité antisociale du DSM.
Hare, R. D. (2003). The Hare Psychopathy Checklist-Revised (PCL-R) manual (2nd ed.). Toronto, Ontario, Canada: Multi-Health Systems.



Suggestion: Rammstein
Merci de ne pas verser dans le schéma à la mode du pervers narcissique (formulation post-moderne du tyran domestique), et attention à l’effet Barnum ! Combien pourraient se reconnaître dans certains aspects de ce tableau et s’affubler d’une appellation devenue coutumière aux passionnés de séries américaines et de blockbusters mettant en scène tueurs en série, narcotrafiquants, hommes d’affaires sans scrupules, dictateurs et autres héros négatifs !