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Ben…. Vous parlez de la dépression ? J’ai dû avoir le pire, alors… Parce que vos 10 commandements me laissent perplexe. Bon, c’est vrai, les 2 dépressions que j’ai eues dans ma vie ont été balayées en 3 semaines avec la sismothérapie, et bien ! Sans même aucun effort ! Les antidépresseurs, aucun effet positif sur moi. Et c’était même pire avec.
Peut-être a-t-il autant de sortes de dépressions que de schizophrénies ? Je ne supporte pas les psys qui prescrivent un antidépresseur pendant des années, pour éviter quelle rechute ? !!!. Le record que j’ai vu, c’est 40 ans sans résultat, par contre, beaucoup de troubles cognitifs.
Oui je comprends que ça puisse laisser perplexe. Ça manque de nuances. Faudrait que je retravaille dessus. L’activation comportementale fonctionne dans la dépression mais l’intensité des efforts est évidemment à adapter à l’intensité de la dépression. Quant à la sismothérapie, c’est le traitement avec le meilleur taux d’efficacité. Si ça a bien marché pour vous c’est cool. Après pour ce qui est de la tolérance et de l’efficacité des antidépresseur, il y a une grande variabilité entre les gens.
On est d’accord. La présentation en 10 commandements, bof bof bof. Ça me rebute total. Préciser que c’est avec aide d’un médicament ne serait pas de trop.
Bonjour,
Est-ce que selon vous ces 10 commandements restent bons à suivre une fois la dépression passée ? « Selon tes objectifs tu agiras, et non selon ton humeur ». Je vois bien l’intérêt qu’il y a à faire ça quand je suis déprimé, et je me demande si finalement cela reste une bonne pratique même quand je ne le suis pas, pour découvrir du plaisir et des bonnes surprises en route, même quand j’ai l’impression d’être trop fatigué ou pas d’humeur. Ou bien est-ce qu’une fois la dépression passée, nos intuitions et notre humeur deviennent des indicateurs plus fiables qu’on peut désormais se permettre de suivre pour ajuster nos objectifs ?
Un peu oui et un peu non.
C’est bien, ce que vous prescrivez, Igor, mais agir sur le blues est très compliqué en ce que c’est du cas par cas, et qu’il est parfois des conditions extérieures sur lesquelles on n’a pas de prise, sur quoi on peut difficilement agir (mal-logement, quartier insécure, job précaire, chômage de longue durée, rupture, deuil, handicap…).
Dans un monde parfait (disons dans un feuilleton américain), on s’entoure d’amis compatissants qui, sur un simple coup de téléphone, vont nous sauver la mise (nous trouver un job sûr, un appart correct dans un bon quartier et dans nos prix, nous inviter à une soirée où on va rencontrer querlqu’un…), mais pour qui croupit au RSA dans une barre mal habitée d’un bled paumé où 20% de la population est au chômage, où il n’y a pas plus à faire dehors que dedans, où les opportunités de rencontres sont quasi nulles, où le cercle amical est restreint voire inexistant, il faut être sacrément blindé pour tenir le choc. Les stups légaux vont aider à la limite à survivre, sans rien résoudre.